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Facebook : comment tu peux savoir qui a accès à tes données ?

Le scandale Cambridge Analytica met en lumière le coeur du business de Facebook. Comme tout service gratuit, c’est donc vous le produit, à travers les données personnelles que le réseau récupère de votre activité. Un pactole numérique que vous consentez à livrer à des tiers, dès lors que vous installez des applications dans l’environnement de Facebook.

Comment savoir qui a accès à vos données personnelles ? Comment contrôler ses accès ? Clubic vous donne les réponses.

Facebook dit tout, mais il faut chercher

Si vous entrez ces questions dans un moteur de recherche, le premier à répondre à votre question, c’est Facebook lui-même. il est d’ailleurs intéressant de mesurer ce que vous lâchez, sans toujours vous en rendre compte : en consultant votre historique personnel, ou pour une analyse sur une longue période, en téléchargeant dans vos Paramètres de compte une copie de vos données Facebook (en bas de page).

Qu’enregistre Facebook de votre activité ? Tout est détaillé dans la politique d’utilisation des données (privacy), notamment les destinataires ou les catégories qui ont accès à vos données personnelles. C’est le coeur de l’affaire Cambridge Analytica, car derrière les destinataires, vous trouverez toutes les applications à qui vous accordez un accès dès lors que vous les activez.

On peut tout contrôler

Il est possible d’éditer manuellement les droits que vous concédez à chacune de ces applications tierces. Dans Paramètres, cliquez sur Applications (dans la colonne de gauche). Pour chaque application, vous trouverez l’icône stylo qui permet de modifier les Paramètres. Certaines informations sont à livrer obligatoirement pour utiliser l’application.

Si vous trouvez l’une d’entre elles trop intrusive, pas de quartier : supprimez-la. Elle perdra l’accès à votre profil. Elle pourra conserver tout ce que vous lui avez donné quand elle était active, à moins que vous ne décidiez de supprimer les données stockées sur vous. Toutes ne le proposent pas. Il est aussi possible de bloquer l’accès d’une appli à votre compte : dans la section Applications, cliquez sur Modifier, puis Désactiver la plate-forme. Il suffit alors de décocher toutes les cases (bio, date de naissance, présence en ligne, etc), ce qui aura pour effet de bloquer les applis trop curieuses installées par vos amis. Toutes ces opérations sont possibles également dans les applis smartphones de Facebook.

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Amazon : un drone livreur qui répond à vos appels et vos gestes

Si vous avez une tendance à saluer tous les animaux que vous croisez voire, parfois, des objets inanimés qui vous paraissent comme ayant une âme, petit souvenir d’un animisme primaire, vous allez adorer le dernier brevet que le géant Amazon a déposé pour ses drones livreurs. Un brevet parmi tant d’autres, Amazon les multipliant depuis quelques années.

Le brevet, repéré par GeekWire, vise tout simplement à vous permettre d’appeler le drone de livraison avec votre voix et des gestes. Et l’image d’illustration est absolument géniale.

Faites des grands gestes avec les bras pour appeler le drone Amazon

Vous voyez cette scène assez classique des films d’action où les survivants d’une catastrophe signalent leur présence aux secours arrivant par hélicoptère en faisant des grands gestes avec les bras et en criant très fort (alors que le pilote et les occupants ne les entendent évidemment pas puisqu’ils ont un casque anti-bruit sur les oreilles) ? C’est exactement ainsi qu’Amazon vous imagine lorsque vous allez voir arriver le drone de livraison.

Ça paraît logique : vous êtes tellement impatient et heureux de recevoir votre dernière commande que vous allez vous rendre ridicule devant tous les passants. Mais comme tout le monde fera la même chose, ce ne sera pas grave.

Voyez vous-même :

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Un drone qui répond à la voix et aux gestes

Si l’image d’illustration est assez amusante, Amazon tient là un brevet intéressant. Le drone de livraison serait alors en mesure d’interagir avec les humains et de reconnaître la personne à qui il doit livrer le paquet. Une manière de ne pas se tromper de destinataire mais également de corriger son vol. Mais le brevet, obtenu le 20 mars 2018, pourrait ne jamais devenir réalité.

On imagine néanmoins facilement qu’Amazon puisse coupler cette technologie avec une technologie de reconnaissance faciale et vocale : le drone reconnaîtrait alors le client grâce aux données biométriques du compte de ce dernier, réduisant à néant le risque que le paquet soit livré à un tiers.

Ce qui est sûr, en tout cas, c’est qu’Amazon est loin d’avoir abandonné son idée de livrer ses paquets par drones, projet sur lequel le géant de Seattle travaille depuis des années et qui devrait devenir le futur de la livraison de colis.

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MariaDB se renforce dans l’analytique big data avec MammothDB

L’éditeur de la base de données open source MariaDB a mis la main sur MammothDB, éditeur bulgare spécialisé dans l’analytique big data et proposant un système de gestion de base de données relationnelles concurrent de MySQL, SQL Server et AWS Redshift.

Sa récente levée de fonds de 27 millions de dollars lui a donné des ailes. Pour accompagner ses projets de développement et amplifier le mouvement de migration depuis des bases de données propriétaires dont Oracle Enterprise voire MySQL, MariaDB a mis la main sur MammothDB. Une opération bénéfique à deux titres pour l’éditeur de la base de données open source éponyme : renforcer sa présence en Europe et doper son offre à l’analytique big data.

« L’équipe MammothDB rejoint MariaDB à un moment critique de notre croissance et apporte un savoir-faire impressionnant en termes de solutions pour le Big data, » déclare Michael Howard, CEO de MariaDB. « L’année dernière, la solution MariaDB AX a fait l’objet d’une demande en forte hausse, à l’heure où les entreprises cherchent à combler une lacune en matière de solutions analytiques Open Source à cause des offres propriétaires comme Oracle et Teradata. La solide expertise de MammothDB en solutions de base données analytique sera très précieuse pour MariaDB qui pourra ainsi répondre à une demande croissante et continuer de rendre ses solutions d’analyse toujours plus innovantes. »

Des noeuds MammothDB installables sur AWS, Azure ou Openstack

Installé à Sofia (Bulgarie), MammothDB qui compte parmi ses clients DHL, Publicis ou encore Cisco, propose une offre articulée autour de trois produits. Tout d’abord Engine, un système de gestion de base de données relationnelles taillé pour le big data, conçu pour faire tourner des applications analytiques sur un cluster de calcul Apache Hadoop. D’après des chiffres de MammothDB, sa solution serait jusqu’à 25 fois plus rapide que MySQL, 7 fois plus scalable qu’un serveur Microsoft SQL disposant d’un même nombre de coeurs processeurs et 3 fois plus rapide que AWS Redshift. Son autre solution phare, Storm, est une plateforme décisionnelle cloud articulée autour des modules en conception, transformation et modélisation des données ainsi qu’un outil de reporting. Enfin, l’éditeur permet l’installation de noeuds MammothDB sur un environnement cloud utilisant des machines virtuelles (self-service provisionning cloud) de type AWS, Microsoft Azure, Openstack ou encore VMware vCenter et ESXi.

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Microsoft prend franchement le virage du mobile et du « cloud »

New York, correspondant

Cette fois, Satya Nadella est définitivement entré dans l’arène. Le nouveau patron de Microsoft a tenu à répondre lui-même aux questions des analystes financiers lors de la présentation des résultats du troisième trimestre, jeudi 24 avril. Son prédécesseur, Steve Ballmer, lassé par les critiques, se contentait d’envoyer au charbon sa directrice financière.

Changement de style et de ton. Les dix premières semaines à la tête de l’entreprise, qualifiées de « dynamisantes », ont été consacrées à tenter de porter un oeil neuf sur le groupe dont M. Nadella a hérité. Pas évident pour lui, qui y a déjà passé vingt-deux ans de sa carrière. Pour cela, il lui a fallu « réapprendre l’entreprise » tout en adressant aux salariés un message de rupture : « L’industrie ne respecte pas la tradition, elle respecte l’innovation », a-t-il rappelé jeudi.

MOINS DÉPENDRE D’UN MARCHÉ DU PC DÉCLINANT

Son premier trimestre en tant que patron, M. Nadella l’a résumé en deux mots : « exécution » et « transition ». Côté exécution, les trois premiers mois de l’année se sont plutôt mieux passés que prévu. Microsoft a annoncé un bénéfice net de 5,6 milliards de dollars (4 milliards d’euros). Certes, cela représente une baisse de 6,5 % par rapport à la même période de l’exercice précédent. Mais l’essentiel de ce recul est dû à un report d’offres promotionnelles proposées aux clients qui ont acheté des nouvelles versions de Windows ou Office. Sans cet élément, le bénéfice net aurait cru de 5 % et le chiffre d’affaires, stable à l’arrivée, aurait bondi de 8 %.

Néanmoins, Microsoft sait qu’il doit à l’avenir moins dépendre d’un marché du PC déclinant. Sur les trois premiers mois de l’année, celui-ci aurait baissé de 1,7 %, selon le cabinet Gartner, voire de 4,4 % selon son concurrent IDC. Malgré tout, le système d’exploitation Windows fait de la résistance…

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/04/25/microsoft-prend-franchement-le-virage-du-mobile-et-du-cloud_4407393_3234.html#Okuw4xxprEk53ixZ.99

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